Depuis longtemps la jeune journalisste n'avait pas remis les pieds dans cer endroit .
Autrefois lorsqu'elle n'était qu'une simple étudiante elle s'éait perdue et avait èrée entre ces murs végétaux durant plusieurs jours. Elle s'était promis de ne plus y retourner.
Pourtant aujourd'hui par manque d'inspiration elle avait décidé d'y retourner. Elle sentait l'odeur de la sève lui chatouiller les sens. Une légère brume lui enlaçait les chevilles. Elle ressera les pans de sa robe. L'atmosphère des lieux étaient tellement différente que dans le reste du domaine. Au loin le soleil irradiat et pourtant un air glaçé emplissait mes poumons à chaque respiration, véritable liquide. Je marchait au hasard, ne cherchant rien de particulier.Ses jambes la portaient à leur bon vouloir. Comme inconsciente de la réalité ses yeux se couvvrirent d'une voile laiteux.
Lorsque elle revint à elle, elle se trouvais sur un banc de marbre blanc et épais triturant sa chevalière. Il n'y avait pas âme qui vive .. C'était un sentiment appaisant, régénérateur.
Peu-être finirait elle par rencontrer quelqu'un, mais en était peu convaincu.
Elle sortis un petit calepin a la couverture usée et commença à décrire ce qui l'entourait,l'encre filant au rythme des mots,des lignes,des pages....
Rien pourtant ne vînt troubler le silence qui l'enveloppait comme une douce bulle. Elle releva la tête, rangea son carnet et repartit dans le dédale de couloirs végétals. La terre sous ses semelles crissait à chaque pas.Elle pensait a Peeves qui devait être encore étouffé sous le monceau d'obligtons qu'il portait chaque jour. Elle le voyait de moins en moins. Toujours occupé à règler quelque problème ou a ordonner à ses suppléants. Pendant que la jeune femme passait ses journées a interroger des gens, a voyager pour couvrir un événement soit de découverte soit politique. Mais aujourd'hui alors qu'elle pensait passer un peu de temps avec son époux celui-ci était coincé dans son bureau ...
Elle laissa échapper un soupir puis tourna son regard vers le soleil qui commençait a descendre à occident. Donnant une couleur d'ambre à chaque touche de verdure. Thera admirait ce spectacle en silence ...//